Bonjour
Aujourd’hui j’ai reçu le commercial des DEMEURES DE LA COTE D’ARGENT.
Je commence à lui exposer mon projet avec tous les détails qu’il faut. Je lui explique que tous mes choix (nombre de chambres, dressing, tout électrique etc…) est le fruit d’une longue réflexion avec ma femme et surtout que l’on souhaite avoir NOTRE maison. Je le sens nerveux. Avant la fin de mes explications il commence à griffonner un pseudo plan tout en faisant semblant de m’écouter. Dès qu’il a terminé il me présente sa réalisation, qui était à des années lumières de ce que je lui avais demandé, en m’expliquant le pourquoi du comment de ses choix. Je lui ré-explique posément mes souhaits, lui fait comprendre que ce qu’il me propose ne correspond en rien à ce que je demande et prends à témoin ma femme pour qu’elle lui explique notre souhait. Il fait mine de nous écouter et recommence un croquis qui, encore une fois, tombera à coté de la plaque. Je lui re re explique que ce n’est pas notre projet et que… il m’interrompt et commence à partir dans une mini colère. Il me dit que mon projet est irréaliste, trop cher pour mon budget (bizarre car je ne lui ai communiqué aucun chiffre), il fait défiler nerveusement les pages de son book en me montrant les prix qui ne sont pas, d’après lui, dans mes cordes. Ce qui est étonnant c’est que tout ce qu’il me montre est en dessous de mon budget, mais ça il ne le sait pas. La cerise sur le gâteau il m’annonce qu’il perd son temps et peut-être aussi le mien. Là c’est la goute d’eau qui fait déborder le vase. J’en ai assez qu’il m’agresse et en plus il me prend la tête. Je le stoppe net dans ses élucubrations et lui dit, dans un calme olympien, qu’on arrête là toute discussion, que je vais repenser mon projet « pharaonique » et que je le remerciai du temps qu’il venait de m’accorder. Je le raccompagne à l’entrée puis basta…
Après avoir digéré l’entretien, je fais un débriefing avec mon épouse. On convient de ne pas en rester là et décidons d’écrire à sa direction pour leur expliquer l’attitude de leur collaborateur.
Demain est un autre jour.
A+
Aujourd’hui j’ai reçu le commercial des DEMEURES DE LA COTE D’ARGENT.
Je commence à lui exposer mon projet avec tous les détails qu’il faut. Je lui explique que tous mes choix (nombre de chambres, dressing, tout électrique etc…) est le fruit d’une longue réflexion avec ma femme et surtout que l’on souhaite avoir NOTRE maison. Je le sens nerveux. Avant la fin de mes explications il commence à griffonner un pseudo plan tout en faisant semblant de m’écouter. Dès qu’il a terminé il me présente sa réalisation, qui était à des années lumières de ce que je lui avais demandé, en m’expliquant le pourquoi du comment de ses choix. Je lui ré-explique posément mes souhaits, lui fait comprendre que ce qu’il me propose ne correspond en rien à ce que je demande et prends à témoin ma femme pour qu’elle lui explique notre souhait. Il fait mine de nous écouter et recommence un croquis qui, encore une fois, tombera à coté de la plaque. Je lui re re explique que ce n’est pas notre projet et que… il m’interrompt et commence à partir dans une mini colère. Il me dit que mon projet est irréaliste, trop cher pour mon budget (bizarre car je ne lui ai communiqué aucun chiffre), il fait défiler nerveusement les pages de son book en me montrant les prix qui ne sont pas, d’après lui, dans mes cordes. Ce qui est étonnant c’est que tout ce qu’il me montre est en dessous de mon budget, mais ça il ne le sait pas. La cerise sur le gâteau il m’annonce qu’il perd son temps et peut-être aussi le mien. Là c’est la goute d’eau qui fait déborder le vase. J’en ai assez qu’il m’agresse et en plus il me prend la tête. Je le stoppe net dans ses élucubrations et lui dit, dans un calme olympien, qu’on arrête là toute discussion, que je vais repenser mon projet « pharaonique » et que je le remerciai du temps qu’il venait de m’accorder. Je le raccompagne à l’entrée puis basta…
Après avoir digéré l’entretien, je fais un débriefing avec mon épouse. On convient de ne pas en rester là et décidons d’écrire à sa direction pour leur expliquer l’attitude de leur collaborateur.
Demain est un autre jour.
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